Chansons
ZE FOFO :: Thème : Quel temps pour soi? :: Séquence 3 Prendre son temps :: Séance 2 L'art de perdre son temps :: Activité 2
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Chansons
Henri Salvador, Le travail c’est la santé, 1965
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N'font pas de vieux os.
Ces gens qui cour'nt au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo ?
Mais non, ils vont à leur boulot
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N'font pas de vieux os.
Ils boss'nt onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot
Dire qu'il y a des gens en pagaille
Qui courent sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n'est pas près de m'rattraper.
Maint'nant dans le plus p'tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l'ont, eh bien, ils sont morts.
Homm's d'affaires et meneurs de foule
Travaill'nt à en perdre la boule
Et meur'nt d'une maladie d'cœur
C'est très rare chez les pétanqueurs !
Julien Clerc , Travailler c'est trop dur
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
D'mander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de vivre vieux
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
D'mander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de vivre vieux
Et je prends mon vieux cheval
Et j'attrape ma vieille selle
Et je selle mon vieux cheval
Pour aller chercher ma belle
Tu connais, c'est loin d'un grand bout d'là
De Saint-Antoine à Beaumont
Mais le long du grand Texas
Je t'ai cherchée bien longtemps
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
Demander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de viv' vieux
Et je prends mon violon
Et j'attrape mon archet
Et je joue ma vieille valse
Pour fairE le monde danser
Vous connaissez, mes chers amis
La vie est bien, bien, bien trop courte
Pour se faire des soucis
Alors ce soir allons danser
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
D'mander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de vivre vieux
Jacques Higelin, encore une journée de foutue
Je ne sais pas ce qu'il m'a pris ce matin
Quand je me suis réveillé
Je me voyais déjà parti sur un voilier
Dans les pays lointains
Au bord d'une plage avec une belle fille
Qui m'bat à la nage et qui me déshabille
Pendant que j'gambille
Autour d'un poisson chat
Est-ce que t'entends ce que je vois ?
Aujourd'hui pas moyen de s'arracher
À cette putain de flemme
Ma tigresse toute auréolée de ses tresses
Me caresse la couenne
Quand elle a peur de vivre ou de mourir
Je m'arrange toujours pour la faire souffrir
Jusqu'à ce qu'elle pleure
Qu'elle pleure de rire
Dans mes bras
C'est comme ça
À qui le tour ??
PINK MARTINI, Sympathique (je ne veux pas travailler)
… Ma chambre a la forme d'une cage
Le soleil passe son bras par la fenêtre
Les chasseurs à ma porte
Comme les petits soldats
Qui veulent me prendre
… Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
… Déjà j'ai connu le parfum de l'amour
Un million de roses n'embaumerait pas autant
Maintenant une seule fleur dans mes entourages
Me rend malade
… Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
… Je ne suis pas fière de ça
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique être sympathique
Mais je n'le connais jamais
… Je ne veux pas travailler, non
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
… Je n'suis pas fière de ça
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique être sympathique
Mais je n'le connais jamais
… Je ne veux pas travailler, non
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
Fernand Sardou "Aujourd'hui peut-être"
Devant ma maison y a un pin terrible
Dont la grosse branche pourrait bien tomber.
Pour mon pauvre toit, quelle belle cible.
Cette branche-là, je vais la couper
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain.
Ce sacré soleil me donne la flemme
Je la couperai... té : après-demain
Et si je peux pas la couper moi-même
Je demanderai à l'ami Tonin
Qui la coupera aussi bien lui-même.
Ce n'est pas qu'on soit feignant par ici
Mais il fait si chaud dans notre Midi.
J'ai de beaux lapins, des lapins superbes
Mais ils ont toujours envie de manger.
Il faut tout le temps leur couper de l'herbe
Et je devrais bien leur en ramasser
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain.
Ces sacrés lapins me donnent la flemme.
Je la couperai... té : après-demain
Et si je peux pas la couper moi-même,
Hé bé je lâcherai tous mes beaux lapins
Qui la couperont aussi bien eux-mêmes.
Ce n'est pas qu'on soit feignant par ici
Mais la terre est basse dans notre Midi.
Le soir de mes noces avec Thérèse
Quand on s'est trouvé tout déshabillés
En sentant frémir son beau corps de braise
Je me suis pensé : "Je vais l'embrasser"
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain.
Moi les émotions, boudiou, ça me rend tout blême.
Je l'embrasserai... té : après-demain
Et si je peux pas l'embrasser moi-même
Mais soudain ça m'a pris au petit matin.
On est déchaîné chez nous quand on aime
Et deux mois après... j'avais trois petits.
Nous sommes les rois dans notre Midi
Bénabar, Paresseuse
Certains matins elle révise son emploi du temps
Imagine ce qu'elle doit faire et se dit... Et puis non
Elle paresse
Au ralenti elle glisse de la cafetière à la fenêtre
Elle aimerait entendre un disque mais il faudrait le mettre
Et rien ne presse
Mademoiselle paresse à Paris
Elle traîne, elle pérégrine
Son Altesse caresse aujourd'hui
L'idée d'aller à la piscine
Elle descend dans la rue, il est 16 h, elle marche lentement
S'assoit sur un banc pour étudier le chemin le plus long
Le transport le plus lent
Le métro pourquoi pas mais y'a pas de grève en ce moment
Quant au bus il est trop tôt pour être bloqué dans les bouchons
Alors à quoi bon
Mademoiselle paresse à Paris
Elle traîne, elle pérégrine
Son Altesse caresse aujourd'hui
L'idée d'aller à la piscine
Le transport qu'elle préfère c'est la balançoire
On bouge d'avant en arrière en prenant du retard
Elle rallonge par le square
C'est la fermeture quand elle arrive au guichet
Elle s'en veut de rater de si peu, à quelques minutes près
Un peu plus elle rentrait
Faut pas compter sur la chance, alors demain elle jure
D'évaluer mieux les distances pour être bien sûr
D'arriver en retard sans rien devoir au hasard
Mademoiselle paresse à Paris
Elle traîne, elle pérégrine
Son Altesse caresse aujourd'hui
L'idée d'aller à la piscine
Fernandel, le tango corse
Au bal du petit Ajaccio
On ne danse pas le mambo
Ni le bee-bop, ni la biguine
Mais un vrai tango d'origine
Le tango Corse, c'est un tango conditionné
Le tango Corse, c'est de la sieste organisée
On se déplace pour être sûr qu'on ne dort pas
On se prélasse, le tango Corse c'est comme ça
Quand Dominique est fatigué
De voir les autres travailler
Il se donne un peu de repos
Juste le temps d'un petit tango
Le tango Corse, c'est un tango conditionné
Le tango Corse, c'est l'avant goût de l'oreiller
Le Dominique se croit déjà en pyjama
C'est magnifique, le tango Corse c'est comme ça
Un jour des musiciens du nord
Ont joué trop vite et trop fort
Un vrai tango de salarié
On ne les a jamais retrouvés
Le tango Corse, c'est un tango sélectionné
Le tango Corse, pour les courageux fatigués
Chacun s'étire en même temps que l'accordéon
Et l'on soupire, le tango Corse que c'est bon
Quand à bout de forces
On va s'étendre une heure ou deux
Le tango Corse
C'est encore là qu'on le danse le mieux
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N'font pas de vieux os.
Ces gens qui cour'nt au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo ?
Mais non, ils vont à leur boulot
Le travail c'est la santé
Rien faire c'est la conserver
Les prisonniers du boulot
N'font pas de vieux os.
Ils boss'nt onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot
Dire qu'il y a des gens en pagaille
Qui courent sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n'est pas près de m'rattraper.
Maint'nant dans le plus p'tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l'ont, eh bien, ils sont morts.
Homm's d'affaires et meneurs de foule
Travaill'nt à en perdre la boule
Et meur'nt d'une maladie d'cœur
C'est très rare chez les pétanqueurs !
Julien Clerc , Travailler c'est trop dur
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
D'mander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de vivre vieux
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
D'mander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de vivre vieux
Et je prends mon vieux cheval
Et j'attrape ma vieille selle
Et je selle mon vieux cheval
Pour aller chercher ma belle
Tu connais, c'est loin d'un grand bout d'là
De Saint-Antoine à Beaumont
Mais le long du grand Texas
Je t'ai cherchée bien longtemps
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
Demander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de viv' vieux
Et je prends mon violon
Et j'attrape mon archet
Et je joue ma vieille valse
Pour fairE le monde danser
Vous connaissez, mes chers amis
La vie est bien, bien, bien trop courte
Pour se faire des soucis
Alors ce soir allons danser
Travailler, c'est trop dur
Et voler, c'est pas beau
D'mander la charité
C'est quelque chose j'peux pas faire
Chaque jour que moi j'vis
On m'demande de quoi j'vis
J'dis que j'vis sur l'amour
Et j'espère de vivre vieux
Jacques Higelin, encore une journée de foutue
Je ne sais pas ce qu'il m'a pris ce matin
Quand je me suis réveillé
Je me voyais déjà parti sur un voilier
Dans les pays lointains
Au bord d'une plage avec une belle fille
Qui m'bat à la nage et qui me déshabille
Pendant que j'gambille
Autour d'un poisson chat
Est-ce que t'entends ce que je vois ?
Aujourd'hui pas moyen de s'arracher
À cette putain de flemme
Ma tigresse toute auréolée de ses tresses
Me caresse la couenne
Quand elle a peur de vivre ou de mourir
Je m'arrange toujours pour la faire souffrir
Jusqu'à ce qu'elle pleure
Qu'elle pleure de rire
Dans mes bras
C'est comme ça
À qui le tour ??
PINK MARTINI, Sympathique (je ne veux pas travailler)
… Ma chambre a la forme d'une cage
Le soleil passe son bras par la fenêtre
Les chasseurs à ma porte
Comme les petits soldats
Qui veulent me prendre
… Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
… Déjà j'ai connu le parfum de l'amour
Un million de roses n'embaumerait pas autant
Maintenant une seule fleur dans mes entourages
Me rend malade
… Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
… Je ne suis pas fière de ça
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique être sympathique
Mais je n'le connais jamais
… Je ne veux pas travailler, non
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
… Je n'suis pas fière de ça
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique être sympathique
Mais je n'le connais jamais
… Je ne veux pas travailler, non
Je ne veux pas déjeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume
Fernand Sardou "Aujourd'hui peut-être"
Devant ma maison y a un pin terrible
Dont la grosse branche pourrait bien tomber.
Pour mon pauvre toit, quelle belle cible.
Cette branche-là, je vais la couper
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain.
Ce sacré soleil me donne la flemme
Je la couperai... té : après-demain
Et si je peux pas la couper moi-même
Je demanderai à l'ami Tonin
Qui la coupera aussi bien lui-même.
Ce n'est pas qu'on soit feignant par ici
Mais il fait si chaud dans notre Midi.
J'ai de beaux lapins, des lapins superbes
Mais ils ont toujours envie de manger.
Il faut tout le temps leur couper de l'herbe
Et je devrais bien leur en ramasser
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain.
Ces sacrés lapins me donnent la flemme.
Je la couperai... té : après-demain
Et si je peux pas la couper moi-même,
Hé bé je lâcherai tous mes beaux lapins
Qui la couperont aussi bien eux-mêmes.
Ce n'est pas qu'on soit feignant par ici
Mais la terre est basse dans notre Midi.
Le soir de mes noces avec Thérèse
Quand on s'est trouvé tout déshabillés
En sentant frémir son beau corps de braise
Je me suis pensé : "Je vais l'embrasser"
Aujourd'hui peut-être, ou alors demain.
Moi les émotions, boudiou, ça me rend tout blême.
Je l'embrasserai... té : après-demain
Et si je peux pas l'embrasser moi-même
Mais soudain ça m'a pris au petit matin.
On est déchaîné chez nous quand on aime
Et deux mois après... j'avais trois petits.
Nous sommes les rois dans notre Midi
Bénabar, Paresseuse
Certains matins elle révise son emploi du temps
Imagine ce qu'elle doit faire et se dit... Et puis non
Elle paresse
Au ralenti elle glisse de la cafetière à la fenêtre
Elle aimerait entendre un disque mais il faudrait le mettre
Et rien ne presse
Mademoiselle paresse à Paris
Elle traîne, elle pérégrine
Son Altesse caresse aujourd'hui
L'idée d'aller à la piscine
Elle descend dans la rue, il est 16 h, elle marche lentement
S'assoit sur un banc pour étudier le chemin le plus long
Le transport le plus lent
Le métro pourquoi pas mais y'a pas de grève en ce moment
Quant au bus il est trop tôt pour être bloqué dans les bouchons
Alors à quoi bon
Mademoiselle paresse à Paris
Elle traîne, elle pérégrine
Son Altesse caresse aujourd'hui
L'idée d'aller à la piscine
Le transport qu'elle préfère c'est la balançoire
On bouge d'avant en arrière en prenant du retard
Elle rallonge par le square
C'est la fermeture quand elle arrive au guichet
Elle s'en veut de rater de si peu, à quelques minutes près
Un peu plus elle rentrait
Faut pas compter sur la chance, alors demain elle jure
D'évaluer mieux les distances pour être bien sûr
D'arriver en retard sans rien devoir au hasard
Mademoiselle paresse à Paris
Elle traîne, elle pérégrine
Son Altesse caresse aujourd'hui
L'idée d'aller à la piscine
Fernandel, le tango corse
Au bal du petit Ajaccio
On ne danse pas le mambo
Ni le bee-bop, ni la biguine
Mais un vrai tango d'origine
Le tango Corse, c'est un tango conditionné
Le tango Corse, c'est de la sieste organisée
On se déplace pour être sûr qu'on ne dort pas
On se prélasse, le tango Corse c'est comme ça
Quand Dominique est fatigué
De voir les autres travailler
Il se donne un peu de repos
Juste le temps d'un petit tango
Le tango Corse, c'est un tango conditionné
Le tango Corse, c'est l'avant goût de l'oreiller
Le Dominique se croit déjà en pyjama
C'est magnifique, le tango Corse c'est comme ça
Un jour des musiciens du nord
Ont joué trop vite et trop fort
Un vrai tango de salarié
On ne les a jamais retrouvés
Le tango Corse, c'est un tango sélectionné
Le tango Corse, pour les courageux fatigués
Chacun s'étire en même temps que l'accordéon
Et l'on soupire, le tango Corse que c'est bon
Quand à bout de forces
On va s'étendre une heure ou deux
Le tango Corse
C'est encore là qu'on le danse le mieux
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